分类:喜剧片 地区:法国年份:2013
主演:圭洛姆·加里尼,安德烈·马尔孔,弗兰西丝·法比安,黛安·克鲁格,勒达·卡代布,戈兹·奥托,布丽吉特..
导演:圭洛姆·加里尼
更新:2024-01-03 17:07
简介:男孩吉约姆(圭洛姆·加里尼GuillaumeGallien..男孩吉约姆(圭洛姆·加里尼GuillaumeGallienne饰)从小就与众不同,全家人都不待见他的娘娘腔,只有妈妈(弗兰西丝·法比安Fran?oiseFabian饰)一直鼓励他做自己。只是妈妈的“开明”似乎有点过分了,比如每次叫孩子吃饭她都喊:“男孩们还有吉约姆,给我下来!”吉约姆对这个不假辞色的冷艳母亲真是又爱又恨又崇拜,甚至拼命去获得妈妈的承认。他努力按照大家先入为主的想法去交男友,但在尝试过同志圈、经历过种种波折和心理治疗后,他才发现原来这一切都是天大的“误会”。在30岁那年他决定向所有人“出柜”,公开承认其实他爱的是女生...... 《男孩们和吉约姆》是法国喜剧演员圭洛姆·加里尼自编自导自演(且一人分饰两角)的处女作,完全取材自他的亲身经历。电影用有趣诙谐、不落窠臼的“反向出柜”来讲述真正尊重性取向的艰难。本片入围第66届戛纳...{if:" Le film, Les Garçons et Guillaume à table, est une histoire de l'avènement de la majorité, une comédie pour les GLBTQ+, un théâtre dans un film avec les techniques cinématographiques extraordinaires. Mais en bas de cette liste, à la base, c’est une œuvre autobiographique du sujet Guillaume Gallienne. L’autobiographie est un genre du dix-huitième siècle, l’âge de raison qui est témoin de la naissance du modèle littéraire de l’individu souverain qui peut se déterminer. Ensuite, jusqu’au vingtième siècle, le mythe de l’individu souverain venait à faillir. L’essai déterminant de Roland Barthes, « La Mort de l’Auteur », a proclamé l’échec de l’homme à déterminer “La” vérité de sa propre vie. Même si Barthes a encore écrit sa propre autobiographie intitulée, Roland Barthes par Roland Barthes, ce livre a créé quelques choses différentes en rendant explicite la puissance du narrateur et créant ainsi une distance entre l’auteur et le narrateur, et donc entre les faits, la vérité et la fiction. Les fragments de la forme, l’usages alternatifs des « il » « R.B » et « je » , tout cela nous fait réfléchir aux questions : qui est le personnage ici ? Qu’est-ce que le narrateur ? De quoi parle-t-il, d’un souvenir, d’un rêve, d’un sentiment, ou d’un fait simple ? À qui parle-t-il, à sa mère, à son audience, à d’autres relations, à un objet d’amour ? Un film au vingt et unième siècle, cette autobiographie par Guillaume Gallienne n’approche pas de problèmes du genre ni directement ni de la même manière. Mais le film crée une autobiographie encore plus complexe et versatile. En utilisant ingénieusement le média unique du cinéma et en particulier en mettant un auto-humoriste du théâtre à l'écran, le film différencie le personnage, et le réalisateur (l’auteur) et nous situe dans une multiplicité de voix par l’identité même de Guillaume Gallienne. À traversé le jeu et le mise-en-scène, Gallienne réussit s’exprime sincèrement tandis qu’il évite de faillir « La » vérité caractéristique du genre de l’autobiographie. Nous étudierons tout d’abord la rupture saillante au milieu du film. Nous expliquerons que, à l'opposé d’un récit cohérent commun pour une histoire autobiographique, la rupture nous montre que le réalisateur-auteur n’essaie pas de fabriquer “La” vérité de son propre histoire. Nous nous concentrons ensuite sur la structure de la rupture. Comparant cette rupture avec celle en l’autobiographie de Barthes, nous pourrons faire la différence entre l’histoire d’enfance et l’histoire de l'âge adulte et expliquer comment les postures différentes du narrateur exercent une influence énorme sur la manière dont il dit sa vérité de son histoire. D’abord, regardant ce film, nous remarquons un coup de tour inexpliqué au milieu, même si l’histoire semble en générale cohérente. Bien sûr, nous pouvons dire que c’est une historie de l’auteur Guillaume qui s’est identifié comme une fille devient se rendre compte de sa masculinité en surmonter sa peur de cela. Nous pouvons dire encore que son grandissement est contrarié par suite de sa soumission et son identification à l’autorité de sa mère. Pourtant, il y a une rupture saillante inexpliquée quand l’histoire passe de l'enfance à l'âge plus adulte. Quand sa mère lui a dit « il y a le plein qui vit très heureux » et Guillaume prend conscience que sa mère ne le voit pas comme une fille, l’humoriste Guillaume Gallienne au scène présente la déception du personnage Guillaume, avant qu’il fait un tour brusque au sujet du service militaire, disant que « Si je ne suis pas vraiment une fille, ça va dire que… ça va dire que je vais devoir faire mon service militaire ! » Nous nous attendons à ce que l’humoriste nous parle de toute l’implication de cette séquence, de la psychologie de Guillaume, mais il ne lui parle que le service miliaire, un sujet apparemment hors de propos. Cette transition, ou le manque de transition, n’est pas une faute du scénario qu'une faute du genre autobiographie, qui exige l’auteur d’expliquer toutes ses histoires en cohérence, supposant qu’il a raison tout le temps. Le sujet au service militaire ne sert pas comme une transition naturelle du récit, mais il sert parfaitement comme une transition théâtrale. Ce mouvement dépasse la prévision des spectateurs et évite d’aborder immédiatement le choc d’apprendre que sa mère le considère comme un garçon, ce qui contourne le piège d’autobiographie que l’auteur essaie toujours d’offrir des raisons suffisantes pour son passé. Imaginons que Guillaume continuerait, « si je ne suis pas vraiment une fille, ça va dire que … Ça va dire que ma mère m’a menti ! Ça va dire que Jeremy ne m’a n'aime pas pour que je ne sois pas une fille ? Mais je suis une bonne fille pour tout le monde toujours… Je ne crois pas. Je suis étonné. Et en fin, je me trouve aux thérapies… » Comme ca, tout irait mal parce que l’auteur prendrait le récit et le personnage dans l’histoire, le jeune Guillaume devient juste une marionnette, dont les émotions sont ajoutées artificiellement. Le réalisateur Gallienne dit à la presse que « sans compter que cette quête d’épanouissement aurait pu être une tragédie. Heureusement, .. Elle est devenue drôle. » Mettant le séquence comique du service militaire en ne suivant pas de logique linéaire de récit, mais en simplement jouant un saut de parole est un geste autobiographique imprévu et cependant spontané, comme si quelqu’un passionné de parler de lui et sa vie tape sur la tête, « ah, une autre chose intéressante là-bas » , et change le sujet soudainement. Nous savons que nous le connaîtrons plus et nous voulons le connaître plus que quelqu’un qui efforce de nous donner la vérité de sa vie. De plus, nous verrons aussi que la rupture sépare ce film en deux parties. Avant cela, Guillaume raconte des histoires d’enfance. Guillaume l’acteur joue lui-même, mais l’enfant autrefois. Ensuite, Guillaume fait toutes les thérapies pour se confronter sa masculinité et en fin gagne la confiance et l’amour. Il semble que l’enfance, ou l’innocence, est terminée tout à coup, et Guillaume Gallienne vive depuis la rupture comme un adulte individuel. En fait, le personnage de mère, toujours présente dans la première partie, n’apparaît pas vers le personnage de Guillaume sauf comme une figure imaginaire dans la deuxième partie jusqu’à la fin où Guillaume fait la confession à elle. Il est intéressant que cette division se trouve aussi dans l’autobiographie de Barthes, dans laquelle Barthes met aussi deux parties, une des images de sa jeunesse (par lui, même s’il y a plein de l’âge adulte) et une des textes littéraires de sa vie adulte. Selon Barthes, « l'imaginaire d'images sera donc arrêté à l'entrée dans la vie productive. » (6) C’est-à-dire, pour l’enfance sans travail, il n’y a que l’imaginaire de la vie. Nous aimons toute la mémoire d’enfance, mais le mémoire d’enfance est la mémoire d’autre personnage qui n’est plus nous-même. C’est la raison pour laquelle Barthes a refusé d’écrire sur ses souvenirs d’enfance : il croit qu’ils n’iraient pas vrai, et il a opté plutôt pour les images qui sont les objets lié au corps de l’auteur, avant qu’il retourne à l'écriture pour se présenter parce que l’écriture était son produit de travail. Au cas du Guillaume Gallienne, il semble que tout le film se délivre d’une façon, et néanmoins la même façon a les sens différentes pour les deux parties de récit parce que le narrateur a les relations différentes à ce deux parties. Dans la première partie, l’humoriste Guillaume Gallienne s'incarne en le jeune Guillaume. Il traverse librement dans les scènes d’enfance ou de la jeunesse. Quand l’humoriste dit « Maman » (au bout du film) il le dit comme Guillaume l’enfant dans l’histoire. Le montage alterné entre la scène du théâtre et les scènes d’histoires indique l’humoriste sur scène mais il ne l’abat pas le mur entre le théâtre et les scenes réalistes. C’est le jeu qui sauve l’histoire d’enfance dont Barthes avait peur d'écrire directement. Nous percevons que Guillaume Gallienne l’acteur est trop vieille pour le personnage de jeune Guillaume, et qu'il est aussi déplacé qu’il joue la mère. Cependant, le travesti et le déplacement d’âge rendent le jeu lui-même notable. « À la recherche des émotions qui l’ont façonné » Gallienne dit à la presse, « on ne parle que de la sincérité des acteurs, même chez les plus faux… » C'est à travers le jeu que Guillaume Gallienne se présente sincèrement, via son corps. En revanche, dans la deuxième partie, nous commençons à remarquer le changement de l’identité de l’acteur avec le personnage. Dans la deuxième partie, l’histoire passe à l’age adulte, et par conséquent, le spectacle, le jeu, le film, tous deviennent son travail, comme l’écrire pour Barthes, ce travail de l’interprétation du son passé, ce qui l’habilite à raconter « sa » vérité de sa vie. Avant, dan la première partie, l’humoriste est l’acteur jouant le personnage Guillaume. Bien au contraire, jusqu’à la fin, Guillaume le personnage devient le même que Guillaume l’humoriste. Dans la deuxième partie, Guillaume grandit et devient lui-même maintenant — un humoriste, un acteur. Quand il dit tous les « j’ai envie de dire que…» pour sa mère à la fin, il ne joue plus que dit quelque chose que Guillaume Gallienne la personne réal a envie de dire. Quand il joue le personnage qui est lui-même, il ne le jeu plus. Il agit étant lui-même. Cette identité, qui ne se trouve pas dans le genre autobiographie ordinaire, est la réussite de cet œuvre autobiographique, de cette histoire de Guillaume Gallienne par Guillaume Gallienne. « Ce film ne dit évidemment pas «La» vérité mais la mienne. C’est mon histoire. L’histoire subjective d’un acteur » ce que Gallienne dit à la presse et ce qui récapitule les idées dans cette analyse. Il se rend compte qu’il vaut mieux ne pas d’essayer de fabriquer et imposer une vérité absolue pour ses histoires. Il sait que ça va bien si son récit n’est pas cohérent parce que la vie n’est pas cohérente aussi. De plus, c’est une autobiographie dont le personnage est un maître du théâtre et du film. Il ne raconte juste pas ses histoires, mais il se présente en les racontant. Le personnage existe dans l’histoire et dan le moyen duquel l’histoire est racontée. C’est la raison pour laquelle cette autobiographie est unique et magistrale."<>"" && " Le film, Les Garçons et Guillaume à table, est une histoire de l'avènement de la majorité, une comédie pour les GLBTQ+, un théâtre dans un film avec les techniques cinématographiques extraordinaires. Mais en bas de cette liste, à la base, c’est une œuvre autobiographique du sujet Guillaume Gallienne. L’autobiographie est un genre du dix-huitième siècle, l’âge de raison qui est témoin de la naissance du modèle littéraire de l’individu souverain qui peut se déterminer. Ensuite, jusqu’au vingtième siècle, le mythe de l’individu souverain venait à faillir. L’essai déterminant de Roland Barthes, « La Mort de l’Auteur », a proclamé l’échec de l’homme à déterminer “La” vérité de sa propre vie. Même si Barthes a encore écrit sa propre autobiographie intitulée, Roland Barthes par Roland Barthes, ce livre a créé quelques choses différentes en rendant explicite la puissance du narrateur et créant ainsi une distance entre l’auteur et le narrateur, et donc entre les faits, la vérité et la fiction. Les fragments de la forme, l’usages alternatifs des « il » « R.B » et « je » , tout cela nous fait réfléchir aux questions : qui est le personnage ici ? Qu’est-ce que le narrateur ? De quoi parle-t-il, d’un souvenir, d’un rêve, d’un sentiment, ou d’un fait simple ? À qui parle-t-il, à sa mère, à son audience, à d’autres relations, à un objet d’amour ? Un film au vingt et unième siècle, cette autobiographie par Guillaume Gallienne n’approche pas de problèmes du genre ni directement ni de la même manière. Mais le film crée une autobiographie encore plus complexe et versatile. En utilisant ingénieusement le média unique du cinéma et en particulier en mettant un auto-humoriste du théâtre à l'écran, le film différencie le personnage, et le réalisateur (l’auteur) et nous situe dans une multiplicité de voix par l’identité même de Guillaume Gallienne. À traversé le jeu et le mise-en-scène, Gallienne réussit s’exprime sincèrement tandis qu’il évite de faillir « La » vérité caractéristique du genre de l’autobiographie. Nous étudierons tout d’abord la rupture saillante au milieu du film. Nous expliquerons que, à l'opposé d’un récit cohérent commun pour une histoire autobiographique, la rupture nous montre que le réalisateur-auteur n’essaie pas de fabriquer “La” vérité de son propre histoire. Nous nous concentrons ensuite sur la structure de la rupture. Comparant cette rupture avec celle en l’autobiographie de Barthes, nous pourrons faire la différence entre l’histoire d’enfance et l’histoire de l'âge adulte et expliquer comment les postures différentes du narrateur exercent une influence énorme sur la manière dont il dit sa vérité de son histoire. D’abord, regardant ce film, nous remarquons un coup de tour inexpliqué au milieu, même si l’histoire semble en générale cohérente. Bien sûr, nous pouvons dire que c’est une historie de l’auteur Guillaume qui s’est identifié comme une fille devient se rendre compte de sa masculinité en surmonter sa peur de cela. Nous pouvons dire encore que son grandissement est contrarié par suite de sa soumission et son identification à l’autorité de sa mère. Pourtant, il y a une rupture saillante inexpliquée quand l’histoire passe de l'enfance à l'âge plus adulte. Quand sa mère lui a dit « il y a le plein qui vit très heureux » et Guillaume prend conscience que sa mère ne le voit pas comme une fille, l’humoriste Guillaume Gallienne au scène présente la déception du personnage Guillaume, avant qu’il fait un tour brusque au sujet du service militaire, disant que « Si je ne suis pas vraiment une fille, ça va dire que… ça va dire que je vais devoir faire mon service militaire ! » Nous nous attendons à ce que l’humoriste nous parle de toute l’implication de cette séquence, de la psychologie de Guillaume, mais il ne lui parle que le service miliaire, un sujet apparemment hors de propos. Cette transition, ou le manque de transition, n’est pas une faute du scénario qu'une faute du genre autobiographie, qui exige l’auteur d’expliquer toutes ses histoires en cohérence, supposant qu’il a raison tout le temps. Le sujet au service militaire ne sert pas comme une transition naturelle du récit, mais il sert parfaitement comme une transition théâtrale. Ce mouvement dépasse la prévision des spectateurs et évite d’aborder immédiatement le choc d’apprendre que sa mère le considère comme un garçon, ce qui contourne le piège d’autobiographie que l’auteur essaie toujours d’offrir des raisons suffisantes pour son passé. Imaginons que Guillaume continuerait, « si je ne suis pas vraiment une fille, ça va dire que … Ça va dire que ma mère m’a menti ! Ça va dire que Jeremy ne m’a n'aime pas pour que je ne sois pas une fille ? Mais je suis une bonne fille pour tout le monde toujours… Je ne crois pas. Je suis étonné. Et en fin, je me trouve aux thérapies… » Comme ca, tout irait mal parce que l’auteur prendrait le récit et le personnage dans l’histoire, le jeune Guillaume devient juste une marionnette, dont les émotions sont ajoutées artificiellement. Le réalisateur Gallienne dit à la presse que « sans compter que cette quête d’épanouissement aurait pu être une tragédie. Heureusement, .. Elle est devenue drôle. » Mettant le séquence comique du service militaire en ne suivant pas de logique linéaire de récit, mais en simplement jouant un saut de parole est un geste autobiographique imprévu et cependant spontané, comme si quelqu’un passionné de parler de lui et sa vie tape sur la tête, « ah, une autre chose intéressante là-bas » , et change le sujet soudainement. Nous savons que nous le connaîtrons plus et nous voulons le connaître plus que quelqu’un qui efforce de nous donner la vérité de sa vie. De plus, nous verrons aussi que la rupture sépare ce film en deux parties. Avant cela, Guillaume raconte des histoires d’enfance. Guillaume l’acteur joue lui-même, mais l’enfant autrefois. Ensuite, Guillaume fait toutes les thérapies pour se confronter sa masculinité et en fin gagne la confiance et l’amour. Il semble que l’enfance, ou l’innocence, est terminée tout à coup, et Guillaume Gallienne vive depuis la rupture comme un adulte individuel. En fait, le personnage de mère, toujours présente dans la première partie, n’apparaît pas vers le personnage de Guillaume sauf comme une figure imaginaire dans la deuxième partie jusqu’à la fin où Guillaume fait la confession à elle. Il est intéressant que cette division se trouve aussi dans l’autobiographie de Barthes, dans laquelle Barthes met aussi deux parties, une des images de sa jeunesse (par lui, même s’il y a plein de l’âge adulte) et une des textes littéraires de sa vie adulte. Selon Barthes, « l'imaginaire d'images sera donc arrêté à l'entrée dans la vie productive. » (6) C’est-à-dire, pour l’enfance sans travail, il n’y a que l’imaginaire de la vie. Nous aimons toute la mémoire d’enfance, mais le mémoire d’enfance est la mémoire d’autre personnage qui n’est plus nous-même. C’est la raison pour laquelle Barthes a refusé d’écrire sur ses souvenirs d’enfance : il croit qu’ils n’iraient pas vrai, et il a opté plutôt pour les images qui sont les objets lié au corps de l’auteur, avant qu’il retourne à l'écriture pour se présenter parce que l’écriture était son produit de travail. Au cas du Guillaume Gallienne, il semble que tout le film se délivre d’une façon, et néanmoins la même façon a les sens différentes pour les deux parties de récit parce que le narrateur a les relations différentes à ce deux parties. Dans la première partie, l’humoriste Guillaume Gallienne s'incarne en le jeune Guillaume. Il traverse librement dans les scènes d’enfance ou de la jeunesse. Quand l’humoriste dit « Maman » (au bout du film) il le dit comme Guillaume l’enfant dans l’histoire. Le montage alterné entre la scène du théâtre et les scènes d’histoires indique l’humoriste sur scène mais il ne l’abat pas le mur entre le théâtre et les scenes réalistes. C’est le jeu qui sauve l’histoire d’enfance dont Barthes avait peur d'écrire directement. Nous percevons que Guillaume Gallienne l’acteur est trop vieille pour le personnage de jeune Guillaume, et qu'il est aussi déplacé qu’il joue la mère. Cependant, le travesti et le déplacement d’âge rendent le jeu lui-même notable. « À la recherche des émotions qui l’ont façonné » Gallienne dit à la presse, « on ne parle que de la sincérité des acteurs, même chez les plus faux… » C'est à travers le jeu que Guillaume Gallienne se présente sincèrement, via son corps. En revanche, dans la deuxième partie, nous commençons à remarquer le changement de l’identité de l’acteur avec le personnage. Dans la deuxième partie, l’histoire passe à l’age adulte, et par conséquent, le spectacle, le jeu, le film, tous deviennent son travail, comme l’écrire pour Barthes, ce travail de l’interprétation du son passé, ce qui l’habilite à raconter « sa » vérité de sa vie. Avant, dan la première partie, l’humoriste est l’acteur jouant le personnage Guillaume. Bien au contraire, jusqu’à la fin, Guillaume le personnage devient le même que Guillaume l’humoriste. Dans la deuxième partie, Guillaume grandit et devient lui-même maintenant — un humoriste, un acteur. Quand il dit tous les « j’ai envie de dire que…» pour sa mère à la fin, il ne joue plus que dit quelque chose que Guillaume Gallienne la personne réal a envie de dire. Quand il joue le personnage qui est lui-même, il ne le jeu plus. Il agit étant lui-même. Cette identité, qui ne se trouve pas dans le genre autobiographie ordinaire, est la réussite de cet œuvre autobiographique, de cette histoire de Guillaume Gallienne par Guillaume Gallienne. « Ce film ne dit évidemment pas «La» vérité mais la mienne. C’est mon histoire. L’histoire subjective d’un acteur » ce que Gallienne dit à la presse et ce qui récapitule les idées dans cette analyse. Il se rend compte qu’il vaut mieux ne pas d’essayer de fabriquer et imposer une vérité absolue pour ses histoires. Il sait que ça va bien si son récit n’est pas cohérent parce que la vie n’est pas cohérente aussi. De plus, c’est une autobiographie dont le personnage est un maître du théâtre et du film. Il ne raconte juste pas ses histoires, mais il se présente en les racontant. Le personnage existe dans l’histoire et dan le moyen duquel l’histoire est racontée. C’est la raison pour laquelle cette autobiographie est unique et magistrale."<>"暂时没有网友评论该影片"} Le film, Les Garçons et Guillaume à table, est une histoire de l'avènement de la majorité, une comédie pour les GLBTQ+, un théâtre dans un film avec les techniques cinématographiques extraordinaires. Mais en bas de cette liste, à la base, c’est une œuvre autobiographique du sujet Guillaume Gallienne. L’autobiographie est un genre du dix-huitième siècle, l’âge de raison qui est témoin de la naissance du modèle littéraire de l’individu souverain qui peut se déterminer. Ensuite, jusqu’au vingtième siècle, le mythe de l’individu souverain venait à faillir. L’essai déterminant de Roland Barthes, « La Mort de l’Auteur », a proclamé l’échec de l’homme à déterminer “La” vérité de sa propre vie. Même si Barthes a encore écrit sa propre autobiographie intitulée, Roland Barthes par Roland Barthes, ce livre a créé quelques choses différentes en rendant explicite la puissance du narrateur et créant ainsi une distance entre l’auteur et le narrateur, et donc entre les faits, la vérité et la fiction. Les fragments de la forme, l’usages alternatifs des « il » « R.B » et « je » , tout cela nous fait réfléchir aux questions : qui est le personnage ici ? Qu’est-ce que le narrateur ? De quoi parle-t-il, d’un souvenir, d’un rêve, d’un sentiment, ou d’un fait simple ? À qui parle-t-il, à sa mère, à son audience, à d’autres relations, à un objet d’amour ? Un film au vingt et unième siècle, cette autobiographie par Guillaume Gallienne n’approche pas de problèmes du genre ni directement ni de la même manière. Mais le film crée une autobiographie encore plus complexe et versatile. En utilisant ingénieusement le média unique du cinéma et en particulier en mettant un auto-humoriste du théâtre à l'écran, le film différencie le personnage, et le réalisateur (l’auteur) et nous situe dans une multiplicité de voix par l’identité même de Guillaume Gallienne. À traversé le jeu et le mise-en-scène, Gallienne réussit s’exprime sincèrement tandis qu’il évite de faillir « La » vérité caractéristique du genre de l’autobiographie. Nous étudierons tout d’abord la rupture saillante au milieu du film. Nous expliquerons que, à l'opposé d’un récit cohérent commun pour une histoire autobiographique, la rupture nous montre que le réalisateur-auteur n’essaie pas de fabriquer “La” vérité de son propre histoire. Nous nous concentrons ensuite sur la structure de la rupture. Comparant cette rupture avec celle en l’autobiographie de Barthes, nous pourrons faire la différence entre l’histoire d’enfance et l’histoire de l'âge adulte et expliquer comment les postures différentes du narrateur exercent une influence énorme sur la manière dont il dit sa vérité de son histoire. D’abord, regardant ce film, nous remarquons un coup de tour inexpliqué au milieu, même si l’histoire semble en générale cohérente. Bien sûr, nous pouvons dire que c’est une historie de l’auteur Guillaume qui s’est identifié comme une fille devient se rendre compte de sa masculinité en surmonter sa peur de cela. Nous pouvons dire encore que son grandissement est contrarié par suite de sa soumission et son identification à l’autorité de sa mère. Pourtant, il y a une rupture saillante inexpliquée quand l’histoire passe de l'enfance à l'âge plus adulte. Quand sa mère lui a dit « il y a le plein qui vit très heureux » et Guillaume prend conscience que sa mère ne le voit pas comme une fille, l’humoriste Guillaume Gallienne au scène présente la déception du personnage Guillaume, avant qu’il fait un tour brusque au sujet du service militaire, disant que « Si je ne suis pas vraiment une fille, ça va dire que… ça va dire que je vais devoir faire mon service militaire ! » Nous nous attendons à ce que l’humoriste nous parle de toute l’implication de cette séquence, de la psychologie de Guillaume, mais il ne lui parle que le service miliaire, un sujet apparemment hors de propos. Cette transition, ou le manque de transition, n’est pas une faute du scénario qu'une faute du genre autobiographie, qui exige l’auteur d’expliquer toutes ses histoires en cohérence, supposant qu’il a raison tout le temps. Le sujet au service militaire ne sert pas comme une transition naturelle du récit, mais il sert parfaitement comme une transition théâtrale. Ce mouvement dépasse la prévision des spectateurs et évite d’aborder immédiatement le choc d’apprendre que sa mère le considère comme un garçon, ce qui contourne le piège d’autobiographie que l’auteur essaie toujours d’offrir des raisons suffisantes pour son passé. Imaginons que Guillaume continuerait, « si je ne suis pas vraiment une fille, ça va dire que … Ça va dire que ma mère m’a menti ! Ça va dire que Jeremy ne m’a n'aime pas pour que je ne sois pas une fille ? Mais je suis une bonne fille pour tout le monde toujours… Je ne crois pas. Je suis étonné. Et en fin, je me trouve aux thérapies… » Comme ca, tout irait mal parce que l’auteur prendrait le récit et le personnage dans l’histoire, le jeune Guillaume devient juste une marionnette, dont les émotions sont ajoutées artificiellement. Le réalisateur Gallienne dit à la presse que « sans compter que cette quête d’épanouissement aurait pu être une tragédie. Heureusement, .. Elle est devenue drôle. » Mettant le séquence comique du service militaire en ne suivant pas de logique linéaire de récit, mais en simplement jouant un saut de parole est un geste autobiographique imprévu et cependant spontané, comme si quelqu’un passionné de parler de lui et sa vie tape sur la tête, « ah, une autre chose intéressante là-bas » , et change le sujet soudainement. Nous savons que nous le connaîtrons plus et nous voulons le connaître plus que quelqu’un qui efforce de nous donner la vérité de sa vie. De plus, nous verrons aussi que la rupture sépare ce film en deux parties. Avant cela, Guillaume raconte des histoires d’enfance. Guillaume l’acteur joue lui-même, mais l’enfant autrefois. Ensuite, Guillaume fait toutes les thérapies pour se confronter sa masculinité et en fin gagne la confiance et l’amour. Il semble que l’enfance, ou l’innocence, est terminée tout à coup, et Guillaume Gallienne vive depuis la rupture comme un adulte individuel. En fait, le personnage de mère, toujours présente dans la première partie, n’apparaît pas vers le personnage de Guillaume sauf comme une figure imaginaire dans la deuxième partie jusqu’à la fin où Guillaume fait la confession à elle. Il est intéressant que cette division se trouve aussi dans l’autobiographie de Barthes, dans laquelle Barthes met aussi deux parties, une des images de sa jeunesse (par lui, même s’il y a plein de l’âge adulte) et une des textes littéraires de sa vie adulte. Selon Barthes, « l'imaginaire d'images sera donc arrêté à l'entrée dans la vie productive. » (6) C’est-à-dire, pour l’enfance sans travail, il n’y a que l’imaginaire de la vie. Nous aimons toute la mémoire d’enfance, mais le mémoire d’enfance est la mémoire d’autre personnage qui n’est plus nous-même. C’est la raison pour laquelle Barthes a refusé d’écrire sur ses souvenirs d’enfance : il croit qu’ils n’iraient pas vrai, et il a opté plutôt pour les images qui sont les objets lié au corps de l’auteur, avant qu’il retourne à l'écriture pour se présenter parce que l’écriture était son produit de travail. Au cas du Guillaume Gallienne, il semble que tout le film se délivre d’une façon, et néanmoins la même façon a les sens différentes pour les deux parties de récit parce que le narrateur a les relations différentes à ce deux parties. Dans la première partie, l’humoriste Guillaume Gallienne s'incarne en le jeune Guillaume. Il traverse librement dans les scènes d’enfance ou de la jeunesse. Quand l’humoriste dit « Maman » (au bout du film) il le dit comme Guillaume l’enfant dans l’histoire. Le montage alterné entre la scène du théâtre et les scènes d’histoires indique l’humoriste sur scène mais il ne l’abat pas le mur entre le théâtre et les scenes réalistes. C’est le jeu qui sauve l’histoire d’enfance dont Barthes avait peur d'écrire directement. Nous percevons que Guillaume Gallienne l’acteur est trop vieille pour le personnage de jeune Guillaume, et qu'il est aussi déplacé qu’il joue la mère. Cependant, le travesti et le déplacement d’âge rendent le jeu lui-même notable. « À la recherche des émotions qui l’ont façonné » Gallienne dit à la presse, « on ne parle que de la sincérité des acteurs, même chez les plus faux… » C'est à travers le jeu que Guillaume Gallienne se présente sincèrement, via son corps. En revanche, dans la deuxième partie, nous commençons à remarquer le changement de l’identité de l’acteur avec le personnage. Dans la deuxième partie, l’histoire passe à l’age adulte, et par conséquent, le spectacle, le jeu, le film, tous deviennent son travail, comme l’écrire pour Barthes, ce travail de l’interprétation du son passé, ce qui l’habilite à raconter « sa » vérité de sa vie. Avant, dan la première partie, l’humoriste est l’acteur jouant le personnage Guillaume. Bien au contraire, jusqu’à la fin, Guillaume le personnage devient le même que Guillaume l’humoriste. Dans la deuxième partie, Guillaume grandit et devient lui-même maintenant — un humoriste, un acteur. Quand il dit tous les « j’ai envie de dire que…» pour sa mère à la fin, il ne joue plus que dit quelque chose que Guillaume Gallienne la personne réal a envie de dire. Quand il joue le personnage qui est lui-même, il ne le jeu plus. Il agit étant lui-même. Cette identité, qui ne se trouve pas dans le genre autobiographie ordinaire, est la réussite de cet œuvre autobiographique, de cette histoire de Guillaume Gallienne par Guillaume Gallienne. « Ce film ne dit évidemment pas «La» vérité mais la mienne. C’est mon histoire. L’histoire subjective d’un acteur » ce que Gallienne dit à la presse et ce qui récapitule les idées dans cette analyse. Il se rend compte qu’il vaut mieux ne pas d’essayer de fabriquer et imposer une vérité absolue pour ses histoires. Il sait que ça va bien si son récit n’est pas cohérent parce que la vie n’est pas cohérente aussi. De plus, c’est une autobiographie dont le personnage est un maître du théâtre et du film. Il ne raconte juste pas ses histoires, mais il se présente en les racontant. Le personnage existe dans l’histoire et dan le moyen duquel l’histoire est racontée. C’est la raison pour laquelle cette autobiographie est unique et magistrale.{end if}
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